| Poids | 0.8 kg |
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Le confessionnal
€19.00
À la tête de l’église de Rossville depuis plus de cinq ans, le Père Malakhias est un modèle de vertu, du moins en apparence. Si le jour il célèbre la messe et écoute les confessions de ses fidèles, la nuit, il se transforme en tueur sanguinaire. Auto proclamé Macchabée, il supprime sans aucun scrupule les pécheurs, se délectant de leurs supplices.
Un soir, alors qu’il traque sa nouvelle proie dans un bar, il tombe sur le glacial mais si séduisant Jolene, un jeune inspecteur qui s’est donné pour mission de mettre sous les verrous le tueur en série. Entre eux débute une relation aussi charnelle que violente, jusqu’à ce que l’attraction se transforme en obsession dévastatrice.
Bafouant les limites de cet amour interdit, les deux hommes vont se vouer un culte mutuel. Mais la liaison secrète que Jolene entretient avec le prédicateur pourrait mettre à mal son enquête et son jugement. Quant à Malakhias, il va devoir plus que jamais se battre contre ses démons et ses secrets, car il n’est plus le seul tueur à rôder dans le coin. Un imitateur sème corps et chaos autour de lui. Mais qui est-il ?
Un fanatique ?
Un miroir ?
Un admirateur ?
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Constance Bader (client confirmé) –
Et c’est sans surprise que c’est un coup de cœur MAGISTRAL ♡♡♡ Waouh mais Cécilia tu nous as encore pondu une pépite de malade !!! Une dark romance M/M prêtre/policier mais c’était sûr que j’allais y laisser mon âme (pardonnez moi mon père parce que je veux pêcher MDR). J’ai terminé ce livre avant-hier, juste avant j’avais lu Bawdy Boy et l’atterrissage a été dur. J’y ai laissé mon âme, mes larmes, mon cœur, je me sens vide dans mon corps … bref pari réussi c’était MAGNIFIQUE et je t’aime voilà ♡♡♡
Sarah and the books (client confirmé) –
Je suis ressortie de cette lecture complètement essorée! L’histoire de Malakhias et Jolene m’a vidée de toute mes forces, qu’elles soient physiques ou psychologiques…
Dès les premiers chapitres, l’autrice a su capter mon attention avec les personnalités « atypiques » de Jolene et Malakhias. Cependant, je ne peux pas dire que je me suis attachée à eux. En revanche, eux se sont accrochés à moi, infiltrant mon esprit. A chaque fois que je posais mon livre, je n’avais de cesse de penser à eux. Ils demeuraient dans ma tête, telle une ritournelle entêtante et obsédante.
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L’aspect dark de cette histoire transparaît tant dans son atmosphère, que la personnalité de Malakhias et Jolene et leurs actes, mais aussi et surtout dans la relation qu’ils vont entretenir. Une relation subversive, transgressive et sulfureuse.
Dès leurs premières rencontres, la connexion est immédiate, la communion instantanée. Une rencontre qui, tel la « Transfiguration », changera à jamais leur existence.
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La relation, l’amour qui vont unir ces deux hommes est totalement à leur image (ce qui m’a plu, car l’autrice, ainsi, ne trahit pas ses personnages). Sombre, magnétique, douloureux, interdit, torturé, immoral, passionnel et blasphématoire, mais surtout et avant tout, obsessionnel.
Ne cherchez pas la lumière dans leur amour, vous n’en trouverez pas ou peu, tout juste sera-t-elle crépusculaire…
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Jolene et Malakhias vont se perdre dans cette relation jusqu’à la déraison, pour mieux se trouver, et se révéler l’un à l’autre, mais aussi à eux-même.
J’ai trouvé la dynamique entre eux très bien réalisée, rappelant qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Car bien que Jolene puisse sembler « lisse » (par rapport à Malakhias), d’un tempérament calme, serein, égal, souple et accommodant, c’est bien lui qui au final à le lead et l’ascendant sur Malakhias.
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L’autrice gère super bien son intrigue. Vraiment, elle m’a fait vriller le cerveau avec son copycat. Elle s’est joué de mon esprit avec brio, me faisant avoir des certitudes pour mieux me les faire abandonner quelques pages plus tard.
Le rythme de son histoire est très bien maîtrisé également s’accélérant sur la fin pour devenir suffocant, illustrant à merveille l’étau qui se resserre autour des protagonistes. On ressent cette oppression et cette sensation d’urgence qui les saisit.
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Enfin, la plume poétique de Cécilia Armand est ici poussée à son paroxysme, nous offrant ainsi des « envolées quasi lyriques » illustrant parfaitement les transes extatiques dans lesquelles Malakhias et Jolene se plongent.
Encore une fois, ce fut un réel plaisir de retrouver cette plume que j’affectionne.
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Pour finir, une lecture singulière d’une histoire qui, pour moi, restera à part parmi les livres solos de l’autrice que j’ai lu jusqu’à présent.